Enchanté jeune demoiselle, apparament votre beauté ma attirer jusqu'ici non ?

-Gardez le change.

Je salua rapidement le chauffeur de taxi qui m'avait apporter ici. Apparament même lui ne connaissais pas vraiment se coin et maintenant que je savais que personne ne soupçonnais cette endroit de cacher des êtres spéciales, je savais en contrepartie qu'il en avait certainement de cacher. En cette belle journée ensoleiller j'avais quitter mes appartements en laissant un seul mot, disant que j'allais revenir chercher mes vêtements et de vendre ma maison au nom de mon compte de banque. Certains de mes serviteurs n'avaient pas compris pourquoi je partais, je leur aie tout simplement répondis que j'avais besoin d'air. Malgré le fait que cette excuse était complètement débile, elle passa facilement dans leur esprit qui était facilement influençable mais fidèle.  À l'idée d'avoir berner des personnes de plus sur cette terre je souris et je rajusta mon veston d'un geste sec. Je glissa la main droite dans mes poches et je pris mes lunettes en les glissant habilement sur mon ney, devant mes yeux de façon à se que personne ne me regarde les yeux mais bien dans le ver. Je pris une grande bouffée d'air et je sentis une multitude d'odeur, autant de parfum agréable que certains nauséabonds venant probablement de la campagne. Je pris ma valise qui était alors rester dans la voiture et je ferma la porte. Le chauffeur comprit rapidement de lui-même qu'il avait terminer son boulot et il ne se pria pas et démarra en triomphe. Malgré le fait qu'un petit ''Aurevoir'' ou ''Bonne chance'' aurait été apprécier de sa part, je le dévisagea pendant un moment dans son rétroviseur en me rappelant que les chauffeurs de taxis étaient particulièrement ignorant. Sans trop me poser d'autres questions diverses je commença ma marche en direction des portes principales.

Alors que je marchais dans la longue entré, j'apercu une petite fille seule dans son coin et je lui adressa un petit signe de la main en lui souriant. Étonnamment celle ci baissa légèrement la tête et elle fit un petit signe de la main, un geste que je jugea de bonne foie malgré la gêne qu'elle éprouvait. Pendant un léger instant je nota que cette fillette serait probablement un cas ou je n'aurais peu de travail à faire, voyant qu'elle n'avait guère besoin de leçon de politesse et d'un ver à boire. Je continua à marcher d'un air détendus en regardant les habitants de cette villa, certains se montrais  inquiet tandis que d'autres détournait tout simplement le regard.

Après un bon moment d'observation j'entra finalement dans le hall de la demeure et les couleurs ainsi que le décor attira pendant un moment mon attention. C'étais un endroit très chic pour être isoler dans la campagne, et jugé par le nombre d'habitant dehors ainsi que la grandeur, je n’avais probablement rien vu. J'entendis le sons des portes s’ouvrir et se refermer rapidement derrière moi, comme si une petite silhouette serait passer. Je me détourna et je vis de nouveau la petite fille qui m'avais salué d'un air gêner. Voyant qu'elle m'avait suivis et que je l'avais pincer, elle baissa de nouveau la tête et je me pencha à sa hauteur en lui proposant de lui serrer la main. Je lui dis sur un ton doux, comme celui avec lequel on parle à un enfant :

- Bonjour jeune demoiselle, je suis le Docteur Lightman, pourriez vous me dire ou se situe le bureau de Madame Maria ?

La fillette leva lentement la tête et j'apercu un léger sourire sur son visage, la plupart des enfants aimaient être traiter en adulte malgré leur insouciance et il reprenait souvent leur moyen grâce à cette impression. Maladroitement elle me serra la main avec ces petits doigts à peine comparable au moins et sans me dire aucun mot, elle me lâcha subitement la main et partie en une direction. Je la suivis et j'accéléra légèrement le rythme en voyant qu'elle prenait de l'avance. Je passa devant plusieurs pièces pouvant sembler être des chambre, une cuisines, ainsi que des toilettes. Comme la fillette avencait plutôt rapidement en s'assurant que je la suivais bien je n'eux pas vraiment le temps de mettre certain point de repère pour de pas me perdre. Alors que je tournais rapidement un coin de couloir je tomba ney à ney avec se qui me semblait une vielle femme. Avent même que j'ai pu le temps de réagir le choc de la collision fit renverser la femme et elle tomba à la renverser sur le sol. Je repris rapidement mes idées  et je l'entendis reprendre les siennes peu à peu en commençant à gronder et à maugréé.  J’avance rapidement à sa rencontre et j'appliqua un tension moyenne sur certain de  ces nerfs se qui l'évanouit instantanément. Je regarda rapidement autour de moi et je l’entraîna dans une des pièces qui venait d'être nettoyer et je la coucha confortablement sur le lit douillet. Elle se réveillerait en disant qu'elle c'étais endormis, et d'ici là, j'aurais atteint mon but. Je frotte mes mains ensemble et je sortis de la pièce en continuant ma route, suivant la fillette à travers le manoir en étant plus alerte.

Après avoir vu plusieurs chambre diverses, et avoir atteins un endroit plus magnifique, la petite fille s’arrêta devant une porte de grande taille ou un petite cognette était disponible de façon à sonner.  Je frotta mes mains ensemble et je frappa fortement sur la porte après avoir souris à la fillette.

-Dame Maria ! Ouvrez, un conte ainsi qu'une jeune demoiselle souhaite avoir un entretiens !

Je souris de nouveau à la petite fille qui était toujours à mes cotés et je ne fût point surprise de voir de nouveau un sourire éclairer son visage, seulement celui ci démontrait qu'elle aimait la situation dans lequel elle c'était embarquée. Je pris de nouveau ma valise dans mes mains et je toussa légèrement dans ma main disponible, en attendant que la porte s'ouvre.

'' Tu y est presque ... ''

À peine un léger moment après avoir demander de m'ouvrir, j'entendis des pas se précipiter lentement vers la porte et un léger sourire en coin me vint alors que j'entendis la poignée de la porte tournant sur elle même. Pendant un moment, se qui me sembla plutôt un long moment, je vis la porte s’ouvrir pour laisser peu à peu place à une jeune femme qui se demandait bien qui pouvais être l'homme cognant et demandant d'ouvrir la porte ainsi. Comme je l'avais vu dans certaines de mes recherches, elle était bien blonde et elle émanait, malgré son air indécis et son sourire qui lui monta légerement au visage, une beautée plutôt attirante cachant peut-être de multiple secret. Sans trop m'attarder à approuver que cette dame était ravissante, je changea rapidement mes idées et je lui fis à mon tour un petit sourire à peine perceptible en coin. Sans trop m'attarder sur les signes je me pencha rapidement à la hauteur de la fillette qui m'accompagnais et je lui chuchota dans l'oreille, perceptible pour elle seule, d'une voix douce et clair :

- Dit lui que le Docteur Lightman aimerais avoir une audience avec la princesse des lieux, et que  la mademoiselle aimerait avoir des sucreris, en lui serrant la main le plus fort possible !

Je me redressa et je regarde la fillette qui semblait indécise, je lui souris légèrement pour lui donner confiance et elle me le rendit avec un lueur de malice dans son regard. Je tourna ensuite mon regard sur la femme se trouvant devant moi et je lui adressa le même sourire malicieux que la petite fille m'avait fait et j'attendis après un certains moment qu'elle s'exprime.

- Monsieur Lightman aimerais avoir une audience avec la princesse des lieux, et moi j'aimerais avoir des bonbons à la fraise !

La jeune fille s'approcha rapidement de la directrice et avent même que celle ci eu le temps de broncher, elle serra sa main le plus fort possible, malgré son jeune âge et ces petits doigts. Elle secoua ensuite maladroitement la main de Maria et la fillette, heureuse de son coup, revint près de moi avec cette lueur encore plus malicieuse dans son regard. Apparament elle gagnerait des bonbons, et bon, je me demandais bien se que j'allais gagner au final...
Je souris à la petite fille et je lui mis ma main sur l'épaule, lentement d'un geste rassurant pour qu'elle et moi regardions la directrice, qui n'avais toujours pas bronché. Peut-être qu'elle était consterner face à cette scène qui se passais que quelques fois dans une vie, ou qu'elle n'était toujours pas certaine si elle rêvait  ou elle était bien éveiller. Tant de possibilité s'offrais que j'abandonna rapidement l'enquête et je lui proposa à mon tour une poignée de main, toujours en la regardant fixement pour voir la moindre de ces réactions.

-Éventuellement, je pense qu'un bon café avec vous ne nous ferais pas de tord. La route à été longue pour voir une perle que même les plus riches de peuvent posséder.

Je leva un sourcil en attendant une réponse, après tout, toutes les femmes saines d'esprit aurais la moindre réaction de sourire, de rougir, ou bien d'avoir une réaction face à se compliment. Peut-être que le moment était encore trop tôt, mais il n'y avait pas de temps pour les plaisanteries et malgré l'envi folle d'apprendre à mieux connaitre cette femme, comme probablement plusieurs homme de mon calibre, j'attendis le moindre signe de sa réaction, autant sur ses traits de visages que sur un geste physique montrant une certaine timidité, ou colère, peut-importait, tant que le premier contacte se fessait.

Après tout, serrer la main d'un homme comme moi n'étais pas directement dangereux, mais à long terme, cette rencontre pouvait créer certains liens, qui eux, pouvaient changer bien des choses...

- Asseyez vous, faites comme chez vous.

J'entra tranquillement dans la pièce, car rentrer précipitement en courant aurait été une des choses les plus étranges que j'aurais faite pour le moment. Je regarda la pièce, d'un regard sceptique car c'étais la première fois que je venais. Les meubles étaient d'un beauté et je les auraient qualifiés anciennement modernes.  De ma main gauche disponible je toucha la surface de divers meuble qui me fis légèrement sourire. La plupart était en bois dure, certains foncés, mais abordaient tous le même lustrage. Je tourna la tête en direction de la directrice qui servait une tasse de café,  apparament j'allais être correctement servis et un café ne me ferais réellement aucun mal, malgré l'excuse qui se cachais derrière.

Je continua de regarder la pièce en général, les meubles, l'éclairage, la charmante dame qui était toujours à la machine à café, et je m'assis confortablement sur une chaise situé juste devant son bureau. J'eu de nouveau un rictus alors que je repensa aux folles années quand j'avais été devant le bureau du directeur et quand j'étais devenu directeur d'une certaine compagnie. Si il y avait quelques choses que je me rappelais c'étais bien que je détestais me faire déranger pendant mes travaux par des travailleurs avec leur problem. Tandis que si il avait quelque chose qui m'interressais, la discutions pouvait duré longtemps. La leçon à retenir était simplement que je ne devais pas parler de sujet insupportant, ou qui pouvait la désintéresser.

Après un bon moment je regarda Maria revenir avec une tasse de café entre les mains, elle me l'offrit et je l’acceptant en lui murmurant un merci ainsi qu'en acceptant son présent, que j'avais moi même demander, d'un signe de tête. Je la regarda ensuite s'asseoir sur sa place de bureau habituelle et nous nous regardions pendant un court moment, buvant quelques rapides gorgé pour me réchauffer. Alors que je sentais que la directrice briserait rapidement le silence, je lui fis un signe de main rapide pour lui dire de se taire, je déposa ma tasse de café et j'approcha légèrement ma chaises en la regardant dans les yeux derrière mes lunettes.

-Vous êtes Maria McKetley, vous avez été publiez dans divers journaux et leur article après enquête mon mener ici. Vous êtes présente dans la plupart des cœurs des hommes mais vous êtes aussi une jeune directrice, physiquement jeune malgré votre âge vous trahissant sur certains papier officiel. Pour le moment vous me trouvez probablement étrange, mais vous tomberez peut-être vite sous mon charme et votre tasse de café, tout comme la mienne, s'épuiseras bien assez vite. Des questions ?

Je la regarda encore dans les yeux pendant un bon moment, j'avais prononcer ces mots d'une façon ferme et certain de moi, alors que  se n'étais que des hypothèse baser sur des fais journalistique. Voyant qu'elle n'avait guère de réaction impressionnant ou la simple  envis de me balancer son café, je pris de nouveau mon café et je bus une gorgé. J'hocha la tête en levant les sourcils et je le déposa en laissant sortir une légère toux.

- Très bon café, vous placez combien de sucres et de lait à l'intérieur ?

Je la regarda de nouveau en levant le sourcil en signe d'interrogation, je cacha un sourire en pensant qu'elle devait se demander comment il était possible de passer à une telle déclaration à un sujet de café totalement basique. Je bus une nouvelle gorgué plus grande que les autres et je secoua légèrement la tasse en la regardant ainsi que le liquide à l'intérieur.

- Je penses que vos réserves seront bientôt à sec avec un homme de mon calibre Demoiselle.

Je continua de secouer ma tasse, toujours en sentant la chaleur dans mes mains  et en écoutant la femme. Certaines de ses paroles me fis sourire tandis que d'autre étais prononcer sous un tong de défis, d'amusement, et d'un mélange de provocation. Malgré le fait que certaine de ces paroles se trouvais remplis de sous-entendu vexant je ne jugea pas asser intéresser d'y cerner une attention particulière contrairement au clin d’œil quelle me fit. Pendant un moment je chercha mes mots, toujours en la regardant derrière mes vers et en ayant une certaine lueur d'amusement dans le regard. Après se qui fût un cour moment je déposa ma tasse sur le bureau et je pris une expression faciale qui semblais plus sérieuse, contrairement à se que je ressentais réellement.

- À se propos ma cher, ma cour de miracle fictive à découvert votre existence en fumant le cigare avec des personnes déconseillés de fréquentés. Certains auraient payés le gros prix pour voir cette ombre au soleil s'éteindre. Loin de là le but de ma visite, mais pour vous faire bref, il y à deux cotés d'une même pièce, je ne voudrais pas que votre bateau de Noé tombe en lambeaux alors qu'un avenir profitable lui est discerner. Se qui m'apporte à vous dire, ma gouvernante, que vous devrez m’embaucher pour créer cette cour de miracle et avoir un avenir glorieux contrairement à Paris.

Je la regarda de nouveau, restant en alertes au signes physiques et réactions qui pourraient se créer autre que l'amusement dans son regard. Malgré le fait que je savais que certaines de mes paroles étaient mal placé ou même mal choisis, il fallait affronter la vériter de face, et  Maria devait en savoir plus que moi sur les dangers qui confrontais les gens habitant cette demeure. Sans trop laisser le temps de me faire répondre, je rajouta avec un sourire en coin :

- J'imagine que vos paroles frappes vos adversaires de plein fouet, et mon charme m'a non seulement apporter un café bien chaud, mais il à eu l'effet de me protéger de vos paroles foudroyantes ainsi que le coup de foudre que vous provoquez cher les hommes.

Je souris plus à mon tour car cette discussion était du moin se qu'on pourrait qualifié d'excitante. Je pris à nouveau ma tasse de café et je la leva légèrement en signe de gratitude et je pris la dernière gorgé. Je la déposa ensuite sur la table après l'avoir secouer en m'assurant qu'elle était bien vide tout en regardant par la suite la présidente de cette bâtisse. Ces yeux reflétant la confiance ainsi que la certitude, évidement que cette femme était remplis de réserve.